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CITADELLE
Collection Folio (n° 3367), Gallimard
Parution : 25-05-2000
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Citadelle, ◊uvre posthume publiée en 1948, constitue la « somme» de Saint-Exupéry et rassemble les méditations de
toute une vie.
Michel Quesnel, avec Pierre Chevrier, avait établi le texte de la première publication. Dans cette nouvelle édition abrégée, il a réussi à distinguer et mettre en lumière les thèmes essentiels qui illustrent cet ouvrage et il nous livre les secrets, les
modulations d’une pensée originale et poétique.
Saint-Exupéry envisageait la traversée de Citadelle à la façon
de ces promenades « dans une campagne étrangère» qu’il évoque au cours même du livre. « Et peu à peu au cours du lent pèlerinage, tandis que mon cheval boitait dans les ornières, ou tirait les rênes pour brouter l’herbe rase le long des murs, me vint le sentiment que mon chemin dans ses inflexions subtiles et ses respects et ses loisirs, et son temps perdu comme par l’effet de quelque rite ou d’une antichambre de roi, dessinait le visage d’un prince, et que tous ceux qui l’empruntaient, secoués par leurs carrioles ou balancés par leurs ânes lents, étaient, sans le savoir, exercés à l’amour.»
toute une vie.
Michel Quesnel, avec Pierre Chevrier, avait établi le texte de la première publication. Dans cette nouvelle édition abrégée, il a réussi à distinguer et mettre en lumière les thèmes essentiels qui illustrent cet ouvrage et il nous livre les secrets, les
modulations d’une pensée originale et poétique.
Saint-Exupéry envisageait la traversée de Citadelle à la façon
de ces promenades « dans une campagne étrangère» qu’il évoque au cours même du livre. « Et peu à peu au cours du lent pèlerinage, tandis que mon cheval boitait dans les ornières, ou tirait les rênes pour brouter l’herbe rase le long des murs, me vint le sentiment que mon chemin dans ses inflexions subtiles et ses respects et ses loisirs, et son temps perdu comme par l’effet de quelque rite ou d’une antichambre de roi, dessinait le visage d’un prince, et que tous ceux qui l’empruntaient, secoués par leurs carrioles ou balancés par leurs ânes lents, étaient, sans le savoir, exercés à l’amour.»
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